
Edyta Piatkowska - Wu
Edyta Piatkowska-Wu enseigne depuis 2011 le Tai Chi Chuan style Yang (« mains nues et armes »), le Qi Gong et la méthode Abdos Sans Risques®. Formée par l’Association Internationale de Tai Chi Chuan de la Famille Yang (IYFTTCCA), elle transmet sa pratique au sein de l’association Bambou Balance Harmonie et Mouvement, qu’elle a fondée avec d’anciens élèves à Lyon-Villeurbanne. Son enseignement se distingue par un engagement constant et une générosité communicative.
Pédagogue passionnée, elle guide ses élèves pas à pas dans une approche globale « corps–esprit ». Les principes du Tai Chi Chuan et du Qi Gong – ancrage, coordination, circulation de l’énergie, intention, relâchement – deviennent accessibles à tous : seniors, personnes en recherche d’équilibre ou pratiquants déjà aguerris. Sa présence chaleureuse, la précision de ses gestes et son langage imagé et poétique plongent chacun·e dans une expérience vivante et inspirante du Tai Chi.
Elle anime également des stages réguliers à Vitrac (Périgord), Embrun (Hautes-Alpes) et Saint-Antoine-l’Abbaye (Isère), ouverts aux pratiquants de différentes écoles du Tai Chi Chuan style Yang en France.
Avant de s’installer en France en 1992, Edyta se formait déjà en Pologne pour devenir enseignante de handball. Passionnée par le sport et la transmission, elle entraîne entre 1996 et 1997 une équipe féminine de handball minimes à Vaulx-en-Velin. En parallèle, elle poursuit des études à l’UFR STAPS Lyon 1 (1996–2002) et obtient une Maîtrise STAPS, mention Activités Physiques Adaptées. Ce diplôme lui permet d’accompagner des publics variés, notamment des personnes âgées en EHPAD et des personnes phobiques de l’eau, en tant qu’éducatrice sportive au centre À Corps et Accord à Villeurbanne (2003–2008). Plus récemment, elle intervient auprès des étudiants en Licence Professionnelle SVAPA (Activités sportives pour les séniors) à l’Université Lyon 1, où elle partage son expérience et son savoir-faire.
C’est en 1998 qu’elle découvre le Tai Chi Chuan, formée par M. Kea Suon (IYFTTCA, Okinawa Shaolin à Lyon). À partir de 2005, elle approfondit sa pratique auprès de Maître Yang Jun, descendant direct du fondateur du style Yang, lors de formations régulières au centre YCF de Paris ainsi que dans divers séminaires en France et en Italie. Elle obtient le grade de 6e Dan à l’IYFTCCA et devient instructrice certifiée. Élevée au rang de disciple de Maître Yang Jun, elle continue aujourd’hui à se perfectionner avec passion et rigueur dans la lignée de cette grande tradition.


« Aucune philosophie au monde n'arrive à la hauteur d'une seule marguerite, d'une seule ronce, d'un seul caillou discutant comme un moine rasé en tête à tête avec le soleil et riant, riant, riant » - Ch.Bobin
Jhycheng Wu
Jhycheng Wu, né à Taïwan en 1961, révèle très tôt son talent artistique. Lauréat du premier prix national d’aquarelle en 1981 puis du prix de lavis de Chine en 1982, il choisit d’élargir ses horizons en venant en France, pays de l’impressionnisme et berceau de l’art moderne.
Installé à Lyon, il poursuit ses études aux Beaux-Arts, où il se nourrit de l’héritage des grands maîtres européens – Le Tintoret, Rembrandt, Cézanne, Van Gogh – et des figures contemporaines telles que Gerhard Richter, Andy Warhol, Francis Bacon ou Yan Pei-Ming. Cette ouverture enrichit et affine son langage pictural.
À partir de 1994, en quête de sa propre identité artistique entre Orient et Occident, il choisit d’aller de l’avant : voyages, expositions et rencontres jalonnent son parcours. Ses œuvres sont présentées en France (Lyon, Roanne, Marseille, Nîmes, La Roche-sur-Yon…), aux États-Unis (New York), en Pologne (Opole) et régulièrement à Taïwan. Ces expériences nourrissent son style singulier, reconnu et apprécié à l’international.
Aujourd’hui, Jhycheng Wu vit et travaille à Lyon, poursuivant une démarche artistique toujours en mouvement, à la croisée des cultures.

J'aime appuyer ma main sur le tronc d'un arbre devant lequel je passe, non pour m'assurer de l'existence de l'arbre - dont je ne doute pas - mais de la mienne. » - Ch. Bobin
Jean-Louis Roche découvre les arts martiaux à 13 ans avec le judo. À 26 ans, il s’oriente vers le Vo Vietnam, art de combat sino-vietnamien de l’école Song Long Quyen Thuat, alors encore peu connu en France. Depuis, il pratique cette discipline depuis plus de 45 ans et l’enseigne depuis plus de 35 ans.
Passionné de cultures asiatiques, il enrichit son parcours depuis une dizaine d’années par la pratique du Tai Chi Chuan style Yang.
Conscient des contraintes liées à l’âge, il est convaincu que les arts martiaux peuvent rester accessibles aux seniors, à condition d’adapter la pratique. C’est pourquoi, depuis 4 ans, il propose des cours spécialement pensés pour les seniors. On y découvre une approche simplifiée du Vo Vietnam, des bases de self-défense, le tout dans une atmosphère conviviale et bienveillante.

Titulaire d’un CQP Animateur de Loisirs Sportifs (option Jeux Sportifs et Jeux d’Opposition, 2019) et 3e Duan à l’IYFTCCA, elle transmet le Tai Chi avec enthousiasme et conviction.
Pourquoi enseigner ? Parce qu’elle souhaite partager les innombrables bienfaits de cette discipline, autant sur le plan corporel que mental.
Ancienne pratiquante de Yoseikan Budo (art martial japonais), c’est l’aspect martial du Tai Chi Chuan qui l’a séduite au départ. Elle commence sa formation en 2010 auprès de M. Kea Suon (enseignant IYFTTCA, Okinawa Shaolin à Lyon). Depuis, sa passion n’a jamais faibli pour cet art qui peut accompagner chacun·e tout au long de la vie. Elle pratique également les armes traditionnelles : épée, sabre et éventail.
Comme elle aime à le dire : « Le Tai Chi, c’est mon remède universel ! »









